mardi 3 juin 2008

Doisneau


Après René Maltête, voici un hommage à Robert Doisneau, probablement le photographe français le plus connu dans le monde entier notamment grâce à des photos comme le « Baiser de l'Hôtel de Ville ». Peut-être une déformation professionnelle, j’ai toujours bien aimé cette image qui est pourtant un faux instantané, comme toutes les photographies de Doisneau d’ailleurs.

Ce choix pourrait-t-il avoir un lien avec mon départ en retraite dans un mois ?

C’est bien possible…

6 commentaires:

  1. Moi aussi j'aime beaucoup Doisneau.
    Tu ne vas pas devenir nostalgique maintenant que tu vas être à la retraite tout de même !!!

    RépondreSupprimer
  2. Vive la vie après le travail Dominique !
    Bon vent, cap au sud !

    RépondreSupprimer
  3. Oh ! Non ! Pas de nostalgie ! L'allusion concernait plutôt l’enfant qui regarde la pendule avec, je suppose, une certaine impatience !

    RépondreSupprimer
  4. J'accueille ton retour avec plaisir Martine !

    RépondreSupprimer
  5. Merci pour ton commentaire à propos du lys. J'aime bien me promener parmi tes photos, et certains noms de lieux de la campagne sarthoise me parlent, de par mes origines paternelles.
    Bonne fin de carrière, et bonne entrée dans l'après !

    RépondreSupprimer
  6. J'ai vu cette photo dans un album : "Les doigts pleins d'encre" le texte est de François Cavanna.
    Personnellement, je suis un inconditionnel du petit père Cavanna : je me demande ce qu'il fout encore dans le journal de ce con de Phillipe Val.

    Le vieux Rouge

    RépondreSupprimer