St Michel, Juin 2008
Je ne parviens pas à intellectualiser, à mettre en mots le fait que j’aime cette photo. Et de plus, je suis tout aussi sec pour le titre. Il des jours comme ça… Alors, si vous êtes plus inspirés que moi, n’hésitez pas, je suis preneur.
Très belle composition Dominique.
RépondreSupprimerIntellectualiser un ressenti... grrr !
RépondreSupprimerTu aimes cette photo et tu as raison, elle est splendide ! Vraiment.
Le passage, la porte.....
très belle photo, elle dégage vraiment quelque chose.
RépondreSupprimerMoi aussi j'aime bien mais c'est vrai que l'on arrive pas toujours à mettre des mots sur nos impressions.
RépondreSupprimerPourquoi « grrr » Martine ? Ouvrons la page « philosophie de bazar » et voyons voir si une grande bavarde comme toi peut tomber d’accord avec le « taiseux » que je suis. (Décidément beaucoup de guillemets dans cette réponse !) Je précise que ce qui suit n’engage que moi. Voici donc mon point de vue : toute mise en mots est l’intellectualisation d’un ressenti préalable. Mon commentaire en forme d’absence de commentaire n’exprimait pas un regret mais un simple constat : je suis resté au stade du ressenti et ce n’est pas un problème. Par contre, à la relecture, un « Il y a des choses comme ça » me semlerait plus juste que mon « Il y a des jours comme ça ». Voila, à toi la balle ! J’espère que tu as pensé à t’abonner aux commentaires.
RépondreSupprimerDominique, je me marre.... (points de suspension)
RépondreSupprimerD'abord, il est difficile de s'expliquer avec des mots écrits, rien ne vaut l'échange verbal ! (point d'exclamation)
Ensuite, comme le dit trés justement Pascaline, il est difficile parfois de mettre des mots sur des ressentis, puisque souvent, il n'y a pas de mot adéquat, caractérisant ce qu'on ressent ou ce qu'on vit. C'est simplement à ce niveau là, que je voulais dire qu'il faut laisser le ressenti tel quel, sans vouloir à tout prix y mettre des mots sortis du mental.
Tu as raison de dire que toute mise en mots est l'intellectualisation d'un ressenti et tu as raison aussi de dire qu'il y a des jours comme ça où rien est à dire, juste à ressentir.... (points de suspension)
Donc, sans philosopher une heure, et sans médiateur intellectuel, je pense que nous tomberons d'accord sans aucun problème.
Ce ne sera peut être pas tout le temps ainsi... (point de suspension), mais là j'avoue que tu as parfaitement tout résumé, tout seul, en grandes enjambées de mots de taiseux !
Je t'embrasse bien fort
et...... (point de suspension encore), je me marrre !!!!!!
J'espère que je n'aurai pas trop été bavarde.
Bel effort de concision, Martine! Vive le consensus ! Cela dit, la contradiction n'est pas mal non plus !
RépondreSupprimerJe t'embrasse et je me marre aussi !
À moi aussi elle me laisse sans mot...
RépondreSupprimerSuzanne
ouvrez les guillemets : points de suspensions, fermez les guillemets !
RépondreSupprimerrires.....
RépondreSupprimerCertes, c'est incontestable. Difficile de ne pas être d'accord. Mais ne serait-il pas utile cependant d'étayer encore plus le propos de quelques compléments ?
RépondreSupprimerPour ma part et sur ce sujet précis, je n'ai plus rien à dire, ou simplement à rajouter qu'il n'est pas forcément nécessaire de commenter intellectuellement un puissant ressenti intérieur, et ce pour en revenir à ce qu'évoquait cette photo d'église.
RépondreSupprimerA vous, les autres commentateurs.
Bonne nuit à tous. J'y cours.