Cherré, 18 octobre 2008
Automne
Dans le brouillard s'en vont un paysan cagneux
Et son bœuf lentement dans le brouillard d'automne
Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux
Et s'en allant là-bas le paysan chantonne
Une chanson d'amour et d'infidélité
Qui parle d'une bague et d'un cœur que l'on brise
Oh ! l'automne a fait mourir l'été
Dans le brouillard s'en vont deux silhouettes grises
Guillaume Apollinaire
C'est chouette ce blog
RépondreSupprimerSuperbe dégradé avec les silhouettes fantomatiques des arbres au loin... j'adore ;-)
RépondreSupprimerTrès belle ambiance et beau poème !
RépondreSupprimerAllez, astiques ton appareil, si je puis me permettre, il va chauffer dans quelques jours!!!
je me régale véritablement avec les photos que tu partages avec nous. Celles de ces derniers jours sont particulièrement réussies...à mon goût. Je rejoins un commentaire qui disait "à quand une exposition ?".
RépondreSupprimerTiens, tiens, chez toi aussi, la brume d'automne...
RépondreSupprimerA la longue, je commençais à croire qu'il n'y en avait qu'en Limousin !
Jérôme
RépondreSupprimerBienvenue ici. Merci pour cette visite et ce commentaire. C'est toujours agréable et encourageant.
Seb!
Peut-être mais je n'ai pas ton talent. Ici les poèmes qui accompagnent ne sont pas de moi.
Pascaline
Purge et recharge aujourd'hui. N'oublie pas le tien.
Lilou
Merci une fois de plus pour tes compliments. Oui, une expo, ce serait sûrement sympa.
Maxime
Ce ne sont pas les brumes qui manquent ici non plus mais je ne les maîtrise pas aussi bien que vous ô maître ! :-)
L'hiver venu et avec plus de temps, je pourrai sans doute m'y consacrer un peu plus.
byłam tu wczoraj,
RépondreSupprimernie przyjmowało wpisów
pozdrawiam ciepło znad morza